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IlLustration de "Le pont du milieu" , ecrit et interprété par Farid Chopel ©
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Affichetdu spectacle "Le pont du milieu"  - Téâtre Noga (Nice)


P r e s s e


Logo Nice Matin 7 juin 2004
Le retour animé de Farid Chopel

Le comédien revient, après 10 ans d'absence, avec "Le Pont du milieu" au Noga. Chronique de sa vie tout en couleur et en émotion

On ne le voyait plus. Farid Chopel a disparu pendant 10 ans, "de son fait", comme il le précise. Avec son visage émacié, on le croisait régulièrement sur scène, à la télé ou au cinéma. Et puis les aléas de la vie, "une période très perturbée psychologiquement et physiquement" commente-t-il avec pudeur, sans vouloir s'étendre.

Aujourd'hui, il revient sur les planches avec "Le Pont du Milieu". Un pont qui relie ses existences. De son enfanceaux premières heures du théâtre, en passant par "l'école des curés", des vacances dans une famille du nord de la Farnce...

Autant de prétextes à rire, à se tourner lui-même en dérision, acteur de son propre chemin. Il revient sur ces années, "où il était premier au catéchisme", cela ne s'invente pas et tous les événements qui l'ont marqué. Sur tout ce qui construit la vie d'un homme sensible, amoureux du théâtre.

"Pas un kamikaze"

"Beaucoup de chaleur passe dans cette pièce tout en français. On rit et on est ému" note Farid Chopel. Durant plusieurs mois, il a officié dans une salle où "l'on faisait un peu de tout", des arts martiaux, de l'art... Puis quelques théâtres de province, où le comédien a reçu un bel accueil : "je ne suis pas un kamikaze, si le spectacle n'avait pas plu, j'aurais fait autre chose". Avant le retour, devant les gros projecteurs de Performance d'acteurs, un festival qui fait référence.

Pour la première fois, il a collaboré avec un metteur en scène, Brigitte Morel. Des débuts un peu difficiles, puis une vraie complicité est née : "Je me suis mis à l'écouter". Farid Chopel ne se la joue plus seul face à son miroir, il a découvert la dualité.

"Il a gardé la même gestuelle, la même silhouette longue, la même présence électrique et lumineuse, la même poésie, le même humour" affirme de son côté Brigitte Morel. "Dans le Pont du milieu, Farid parle gravement et c'est à mourir de rire".

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Contacts : écrire à f.chopel@voila.fr et simultanément à farid.chopel@farid-chopel.com